« Yuka ebihara est une danseuse qui mérite d'être connue tant elle brille par son apparente facilité technique et sa virtuosité artistique [...] Sandra Fréjabise campe avec émotion cette marguerite touchante et fragile. elle s'investit passionnément dans une danse éperdue des corps avec Armand Duval / Yannis Chevalier. »

Danse, Mai 2009

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« Des danseurs de très haut niveau au programme. Trois ballets au travers desquels on sentira le travail classique à la Forsythe ou Spoerli mais également les influences contemporaines de Malandain ou Kylian. »

L'Ardennais, 9 Mars 2009

 

« La soirée alliera technique et virtuosité puisque trois ballets très différents vont composer le spectacle en permettant au chorégraphe de laisser libre cours à son imagination et aux danseurs de montrer l'étendue de leurs capacités. »

Danse, Février 2009

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« Avec courage, enthousiasme et talent, Yannis chevalier, tout comme François Mauduit, ne se contente pas d'être un excellent danseur, il poursuit l'élaboration d'une œuvre chorégraphique qui a la particularité de plaire et de fidéliser le public. La chose est rare, elle mérite d'être précisée. »

Danse, Avril 2008

 

« Le quintet des solistes, où toute la technique néo-classique est venue s’associer aux acrobaties dignes d’un ballet de Forsythe, montre aussi une grande qualité de création pour ce spectacle. Une mention spéciale aux costumes étincelants. »

 Danse, Juillet 2008

 

« Deux ballets (Nostra Terra, Beethov’ Fantaisie) totalement différents et qui, dansés avec talent, dans des tenues somptueuses, ont fait sourire, puis ému les spectateurs admiratifs. »

L’Ardennais, Dimanche 12 Décembre 2004

 

« Le ballet La Fleur du Mal […] a ravi le public qui y a décelé la marque du professionnel. […] Et le talent, la prestance de Yannis, ange de la Mort a émerveillé le public. La grâce des danseuses et danseurs, le jeu expressif du regard, le mouvement des poignets, des mains et des doigts, issus de la pantomime du XVIème siècle et que Yannis a adapté à la gestuelle contemporaine ont séduit le public qui a ovationné le spectacle. »

 

L’Ardennais, Juin 2002

 



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